Articles de presse

"À l'occasion du 50e anniversaire de la reconnaissance de la République Populaire de Chine par la France, le collectif DQVTM, a été créé afin d'entamer un dialogue pérenne entre les deux pays. La partie messine du projet «Dans quelle vie tu monde(s)?» s'inscrit dans la Semaine du Développement Durable. Elle consiste en cinq expositions d'artistes chinois, présentées dans différents lieux. Elle débute par une Journée d'étude au Centre Pompidou-Metz, réunissant de nombreux artistes dont XUE FENG CHEN, MAUD LOUVRIER-CLERC, FU XIAODONG, GAO JIÉ , JINGFANG HAO et acteurs du monde de l'art."

"Hasard du calendrier, Signet Roubaix tombe cette année le jour de la Saint-Valentin. Il n’en fallait pas plus pour que le thème de cette troisième édition s’intitule « Pour l’amour du livre… ». Pour le coup, douze des participants à l’événement mise sur la carte du romantisme. Citons par exemple L’Herbe rouge, boutique de Maison des modes, qui organise une rencontre avec Maud LC qui dédicace ses livres 20 Variations de Cupidon et L’Abécédaire de la réinvention."

"Par ailleurs, les changements climatiques, les enjeux liés à l'environnement et au développement durable incitent les artistes à se rapprocher de penseurs, de chercheurs et de philosophes, qui contribuent à notre compréhension des vivants non humains. « Dans son livre Aux racines de l'anthropocène, M. Magny, directeur de recherche émérite du CNRS, paléoclimatologue, explique que pour protéger l'environnement, l'homme doit se réconcilier avec lui-même, témoigne Maud Louvrier-Clerc"

"Il arrive aussi que les artistes s'adressent directement à des entreprises, parfois même des industriels dont l'art n'est pas le cœur d'activité. C'est ce qu'a fait, Maud Louvrier-Clerc, pour son exposition « Out-side/Inside » à la Villa Savoye à Poissy (78)."

"Qu’il s’agisse de personnes confinées dans des appartements exigus ou de parents souhaitant éduquer leur enfant à l’art, les profils des gagnants sont multiples, tout comme les artistes disponibles, qui sont présentés sans filtre, sans aucune sélection. Les toiles d’Olivier Masmonteil sont évidemment présentes, parmi une foule d’autres artistes comme Thomas Lévy-Lasne, Katia Bourdarel ou Maud Louvrier-Clerc."

"Laissez donc à l'entrée de ce jardin d'éternité, vos pensées d'absolu, votre croyance en la maîtrise du temps. Rien de tout cela n'existe ici. Le fantasme de la vie éternelle se représente sous la forme de symboles, qui, comme le cyprès ou la grue dans la culture japonaise, traduisent la longévité."

"Les monotypes Neiges éternelles de Maud LC témoignent de la puissance et de la fragilité de la montagne. L'artiste cherche à réconcilier les contraires, l'inerte et le vivant, l'organisé et le chaos, le je et le nous. Ses œuvres nous invitent à contempler la beauté de ces paysages, à préserver."

"There is a void between luxury and mass-market design," explains the collective's founder Maud Louvrier-Clerc. "We explore that void through our work by creating beautiful pieces made in France, which respect our values of transparency, sustainability, solidarity and traceability." 

"Tous les objets, meubles et luminaires présentés sont dessinés et fabriqués 100% en France. Le Collectif compte déjà 17 designers (ou entités de design) indépendants !!"

"Faubourg Saint-Antoine, Stalingrad ou dans le Marais, jusqu’au 16 septembre dans la capitale, elles montrent le chemin à suivre en termes de tendances."

"Nous souhaitons mettre en valeur notre territoire et en prendre soin », résume Maud Louvrier-Clerc." 

"Les pièces présentées devaient apparaître aux yeux de la commissaire d'exposition, Maud Louvrier, comme des « classiques » du XXIeme siècle. Certaines sont nées de designer-artisan d'art ou de la collaboration entre un designer et un artisan d'art, témoignant ainsi, selon Maud Louvrier, « du décloisement entre ces deux corps de métiers pour une plus grande dynamique du secteur des arts appliqués dans son ensemble"

"Rêves d'avenir" est né de ma réflexion autour du développement durable. Depuis dix ans, je réalise une recherche sur l’équilibre, autour d’une forme que je nomme Carrond qui est la fusion d’un carré et d’un rond.

"Surtout, Maud Louvrier Clerc a créé une forme toute spéciale qui nourrit son travail et parcourt toute son œuvre, le « carrond », mélange du carré et du rond que l’on retrouve bien évidemment dans ce banc propice à la rêverie."

"La disparition du sable présente une grande variation de couleurs, de formes et de tailles de grains qui nous incitent à plonger dans des espaces miniatures. Des îles, des littoraux, des bouts de continents apparaissent."

"Une fois de plus dans le travail de Maud Louvrier-Clerc, les techniques sont choisies avec cohérence par rapport à son discours. Artiste-citoyenne, elle articule l’ensemble de sa création transdisciplinaire autour de notre rapport au réel, au monde et au vivant."

 "Plus que tout, ils sont légers, flottant sur la page blanche, extra-terrestres, mélancoliques. Ce sont 16 aquarelles d’une naturelle simplicité qui réunissent étroitement la mer et son poison. Les effets liquides des pigments produisent des paysages."

"Au gré des rencontres, curiosités ou timidités, une imprégnation mutuelle, comme une huile gagnerait la toile. “Cette résidence artistique, c’est un atelier in situ. Je ne suis pas là pour produire quelque chose avec les étudiants. Mais nous côtoyer est un bienfait. "

"Ainsi de la naissance à la mort, d’un simple prénom  donné par ses parents à une sentence murement réfléchis, l’écriture façonne l’identité et permet d’en  fixer les contours pour la rendre visible aux yeux des autres."

"Les sculptures tissent une relation entre un espace extérieur, le château, la chapelle, le jardin et un espace intérieur : la pensée introspective du spectateur. Blanches, couleur sacrée des anges ou de celles des « vrais » nuages, elles sont positionnées sur l’herbe verte, symbole de fertilité et de l’imagination des hommes sur Terre."

Dans son oeuvre, Maud Louvrier explore l'empreinte écologique, la notion d'éco-système ou encore la biomasse.